J’ai perdu vingt kilos, apparemment durablement

Depuis trois ans que je vois régulièrement Virginie, j’ai perdu vingt kilos, apparemment durablement.

Le but de cet article est de témoigner de cette expérience ; tout en étant bien conscient que ce qui peut marcher pour moi n’est pas forcément adapté à quelqu’un d’autre.

Pourquoi ai-je voulu perdre du poids :

–          D’abord pour avoir une meilleure image renvoyée par le miroir ou par ses proches.

–          Ensuite pour pouvoir pratiquer un peu de sport sans handicap, ou même simplement monter un escalier avec facilité, un rhumatologue m’avait dit : « un kilo de plus équivaut à quatre kilos supplémentaires dans un escalier »

–          Enfin pour des raisons de santé : le surpoids peut être source de nombreuses maladies ou accident.

On beau chercher des faux-fuyants (genre : j’ai des os qui sont lourds, je tiens ça de mes parents, etc…) le surpoids est directement lié à une alimentation excessive et peu équilibrée. Seuls quelques cas échappent à cette constante et relèvent strictement de la médecine.

C’est une addiction, comme le tabac, l’alcool, la drogue, et bien d’autres (pour certains le fait de courir est une addiction). Une addiction est quelque chose dont on ne peut se passer. Et, selon moi, on ne peut lutter contre une addiction que si on en a la volonté. On peut se mettre tous les patchs qu’on veut, on peut faire toutes les séances que l’on veut, si ça n’est pas dans la tête, eh bien, je doute que cela marche.

Peut-on y arriver tout seul ? probablement oui, mais on risque de déséquilibrer son alimentation et de causer des dégâts.

Après avoir essayé diverses choses : des dragées FUCA à la méthode Montignac par exemple, je me suis décidé à aller voir Virginie.  Au départ, cela s’est fait par hasard, simplement parce que son cabinet se trouvait voisin d’un autre lieu que je fréquentais.

Aujourd’hui, je recommande Virginie, parce que sa méthode marche, qu’elle n’est pas « sectaire », qu’elle est sympathique et que ses tarifs sont abordables ! je me rappelle avoir rencontré une de ses collègues, qui faisait une conférence sur le sujet et qui a déclaré : « si vous buvez du vin, vous ne pouvez pas perdre de poids ! » conclusion : celui qui boit du vin tourne les talons.

La méthode de Virginie est plus douce, basée sur un dialogue avec le patient, des recommandations qui peuvent être négociables ; ainsi je lui ai dit : je viens vous voir mais pas question de me supprimer ma tranche de brioche et ma cuillère de confiture du matin. Ce à quoi elle m’a répondu on va intégrer cet élément dans l’alimentation globale. A quelques exceptions qui se comptent en jours dans mon cas : je n’ai jamais eu faim.  L’alimentation est variée, équilibrée et adaptée à chaque patient. Bien sûr il y a des hauts et des bas, des paliers aussi, qui amènent à retourner la voir. A certains moments on a l’impression de stagner !  Il y a aussi les fêtes, les vacances, autant d’occasions de manger à l’excès, mais une fois que l’on sait que l’on va redescendre, on peut s’autoriser un excès. Il faut cependant veiller à ce que les excès ne deviennent pas là règle !

Pourquoi la méthode recommandée par Virginie produirait-elle de meilleurs résultats que la méthode « machin chose » ? Par ce qu’avec la méthode « machin chose », vous pouvez certes perdre du poids ; mais quand on a perdu 3 à 5 kilos on est content, et on dit : « bon c’est bien ! je peux donc arrêter » et on reprend son alimentation ancienne ; les mêmes causes produisant les mêmes effets, on reprend tout ce qu’on a perdu, voire plus (effet yo-yo). Alors on essaie une autre méthode et ainsi de suite et puis on se décourage.

Avec la méthode de Virginie, plus un minimum de volonté, on y arrive. Un dernier mot, quand on est en couple, c’est plus facile de le faire à 2 !

Viktor (H, 72 ans)

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